Nom: Mara Vulpine
Ordre: Valkar
Sexe: Féminin
Disciplines: Vol 3, célérité 2, obeah 1
Profession: Templière
Arme: très grande épée indestructible et capable de trancher presque tout les matériaux (objet spécial)
Apparence physique: Mara est une femme semblant faire dans les 20 à 25 ans, elle fait environ 5 pieds et 2 pouces. Étrangement ses cheveux ne sont pas dans les mêmes teintes que ses ailes, ceux-ci étant d'un bleu royal des plus frappant, ses ailes étant du blanc le plus pur. Ses yeux sont du même bleu que ses cheveux. Mara est en général habillée de son armure de Templière (voir image), celle-ci étant toujours maintenue dans un état impeccable malgré son age vénérable. Il arrive parfois qu'elle porte une robe et dans ces rares occasions elle ne porte que le blanc ou le bleu. (pour faire court l'image décris très bien le personnage)
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Psychologie: Mara est une fanatique, depuis sa naissance en l'an 950 elle a été vénérée comme une ange par bien des église où tous considérait sa parole comme la volonté divine. Elle est sage, froide et calculatrice et ne s'embarque pas dans des actions perdues d'avance mais elle garde toujours sont but et ne se détourne jamais de celui-ci. Lorsque quelqu'un est dans le besoin elle l'aide, que se soit directement ou indirectement, mais lorsque quelqu'un commet un acte répréhensible, elle se montre en générale sans pitié et applique sa loi d'une main de fer. De manière générale elle est plutôt calme et très curieuse, adorant lire toutes sortes de livres sur l'histoire.
Historique: (pardon si c'est long, j'ai un surplus de créativité XD)
Mara est née environ dans les année 950 avant même que la France ne porte encore définitivement son nom et fut élevée recluse dans un monastère. Elle étudia longtemps les écris religieux, lisant bien des livres qui n'aurais pas été donné de voir à la plupart des gens, mais toujours elle trouvait qu'il manquait quelque chose, comme si quelqu'un cachait sans cesse des informations tout au long de l'histoire. Chaque fois qu'elle demandait aux moines pourquoi est-ce que tel ou tel paragraphe semblait incomplet personne ne lui répondait, prétextant qu'ils étaient entiers. Sa curiosité l'amena bien souvent hors du monastère, cherchant quelconque village où elle pourrait trouver d'autres livres, mais elle se rendit vite à l'évidence, le monastère était à au moins trois jours de vol de l'auberge la plus proche et se résigna donc à rester au monastère.
Un jour cependant le réveil fut brutal, la cloche d'alerte sonnant quelques heures avant le levé du soleil, quelque chose, pilleurs ou simple convois mal informé approchait et à une allure qui n'avait rien de rassurant. Mara s'envola jusque sur le toit de la plus grande bâtisse du monastère et observa l'avancement de cette étrange troupe composé de plusieurs dizaines d'homme dont quelque uns tenaient des torches, rien de rassurant. Plus ils approchaient plus on pouvait entendre le bruit de métal que leurs armures faisaient à chacun de leurs pas, la lueur de leurs torches se reflétant sur les pointes des lances et sur leurs armures lustrés. Mara fut surprise que des gens si structurés, avec des armures aussi belles et un prestance si incroyable allaient probablement mettre à sac l'endroit, tuant ces paisibles moines, attaquant un endroit sacré du même coup.
Mais une fois à une centaine de mètres, ses intrigants étrangers s'arrêtèrent, un seul homme portant un grand heaume, une armure encore plus scintillante que les autres s'avança, un lance portant un drapeau triangulaire avec une grande croix rouge dans une main et une torche dans l'autre. Il avança vers la porte du petit mur de pierre entourant le monastère, une fois à moins de dix mètres un des moines qui s'occupait de la porte l'interpela, lui demanda ce que troupe d'hommes ainsi armés pouvait bien vouloir à un monastère et que si il voulait entrer il devrait laisser ses armes à l'extérieur de la porte. L'homme s'immobilisa et lui répondit qu'il venait chercher quelque chose de très précieux et que personnes ne serait blessé s'il l'obtenait sans résistance. Il va s'en dire que le moine lui demanda ce qu'il voulait et l'homme lui répondit sans attendre qu'il devait libérer l'ange retenue prisonnière dans le monastère. À la mention de Mara les moines restèrent silencieux, hésitant longuement avant de répondre qu'il avait été mal renseigné et qu'aucunes des créatures de dieux ne résidait en ce lieu. Mara quand à elle fut stupéfaite qu'une une troupe d'hommes si bien armés et si ordonné se présente si loin de la civilisation afin de la récupérer. L'homme leva sa torche bien haut et un long sifflement se fit entendre alors qu'une flèche fendit l'air et tua le moine qui avait parlé.
L'homme renouvela sa demande, en précisant cette fois que si on ne la lui livrait pas immédiatement, il mettrait l'endroit à sac pour la trouver, quitte à tuer chaque moine sous la torture. Ces derniers virent bien qu'ils n'avaient aucunes chances et après quelques minutes de réflexion firent quérir Mara. Mais ne la trouvant pas dans ses quartiers ils se mirent à fouiller le monastère à sa recherche, était-elle encore partie faire une de ses escapades nocturne? Ne la trouvant pas, les moines expliquèrent le problème à l'homme, ne réussissant apparemment pas à le convaincre car il leva encore une fois sa torche et cette fois toute la troupe avança et les moines se préparèrent à défendre leur vie avec les quelques outils qui pouvaient être utilisés en tant qu'armes qu'ils trouvèrent. Mara demeura sur son perchoir, trop apeurée de ce que les hommes venus pour elle pourraient bien lui faire pour dire aux moines où elle était.
Ce fut un massacre, la porte en bois, bien qu'épaisse ne tenu pas très longtemps sous les assauts du tronc d'arbre qu'utilisèrent les envahisseur en tant que bélier, les outils se brisant sous le fer de épée, le sang souillant cet endroit sacré. Mara observa tout ce qui se produit sans dire un mot, certes ces hommes en armure étaient des barbares, des meurtriers, mais elle ne leur en voulait pas tant, les moines l'ayant retenue à cet endroit des années durant, forcée à lire et à répliquer des livres incomplets sans arrêt. Une fois le dernier moine tué, les hommes fouillèrent de fond en comble toutes les bâtisses pour ensuite les incendier. Lorsqu'ils mirent feu à la bibliothèque, Mara ne put s'empêcher de rager intérieurement, cognant du poing le toit où elle se tenait. Le tout décrocha un des bardeau en argile du toit, celui-ci tombant bruyamment sur le sol 5 mètres en contrebas, alertant un des attaquants.
Lorsqu'il vit l'ombre d'une personne mais plus celle de grande ailes, celui-ci tomba à genoux, récitant multiples prières avant de finalement adresser la parole à Mara, Lui expliquant d'une manière des plus courtoise qu'elle était désormais libre et pouvait choisir de partir, sans pour autant les suivre eux. Mara n'ayant plus vraiment d'attache et na sachant pas vraiment où aller, elle décida de suivre ces hommes qui, contre tout ce qu'elle pensa, ne lui firent aucun mal et la traitèrent avec tout les égard du monde. Ils l'emmenèrent à un petit château où elle se fit expliquer en détails ce pourquoi ils avaient étés la chercher.
Ces hommes et quelques femmes se faisaient appeler Templiers, ils avaient pour but de récupérer les artéfacts et les trésors que les véritables servants de dieu avaient laissé derrière eux, leur foi était très probablement inébranlable, Mara elle-même étant, pour eux, une preuve irréfutable que leur mission n'était pas un fantasme de pouvoir mais la volonté divine. Ils donnèrent à Mara accès à des livres secrets, des écris bien plus vieux encore que tout ce qu'elle avait vu à ce jour. À partir de ce point Mara changea du tout au tout, anciennement solitaire et toujours trop gênée pour donner son point de vue, elle était maintenant confiante et croyant plus que jamais qu'elle était véritablement un ange de dieu envoyé sur terre pour aider les Templiers dans leur quête.
Bien des quêtes furent accomplies, bien des années passèrent mais toujours Mara ne vieillissait pas, prenant sans cesses de la force et ses pouvoirs se révélant de puissants alliés. Elle récupéra un nombre incalculable de richesses et différents artéfacts au Templiers dont son épée qu'elle préféra conserver au lieux de la mettre dans l'une des multiples voutes cachées. L'ordre commençait certes à se faire vieux, la foi disparaissant lentement avec les ages, de moins en moins de gens étaient jugés dignes d'y entrer. Mara était encore et toujours vue comme la véritable dirigeante de l'ordre mais, n,ayant pas vraiment de talent pour diriger, elle préférait laisser les humains s'occuper de cela.
Les Templiers ne sont aujourd'hui plus qu'un mythe selon presque tout le monde mais Mara sais qu'il en est autrement, l'ordre, bien que faible aujourd'hui est encore bien présent, certaines voutes furent perdues et des artéfacts furent volés, ceux-ci ont besoin d'être retrouvés. C'est d'ailleurs dans le but de retrouver l'une de ces voutes que Mara s'est rendue à Paris, des écris pointant que celle-ci pourrait bien se trouver sous la ville.
Jeu 8 Oct 2009 - 11:59
