La grande marche de Constance.

Constance marchait tranquillement dans la ville quand tout à coups elle apercu des grandes portes et elle se rendit compte qu'elle était rendu tranquillement au Palais du ministre.

Elle était découragé tandis que les riches ce la coulait douce plusieurs enfant pauvres mourraient à chaques jours elle décida d'enfreindre la loi qui interdisait de rentrer et passa la porte facilement, les garde ne remarqua rien tandis qu'ils étaient dans une bulle de temps.

*Qu'est ce que je peux bien faire ici....*

Elle entra tranquillement dans la cour extérieur.

Il était aux environs de six heures, le ciel commençait déjà à perdre de sa clareté. Harlequin marchait dans les rues fortunées de la belle ville de Paris. Il avançait d'un pas rythmé et enjoué; l'air frais lui remplissait les poumons, le ventre, puis le dos: technique théâtral qu'il avait appris pour mieux projetter et bien faire circuler l'oxygène. Des pensés diverses lui traversaient l'esprit. Soudain, une chose inimaginable, quoiqu'inévitable, se produisit:

Son ventre gargouilla.

Harlequin sourit à lui-même: il se trouvait dans le quartier le plus riche de la ville, où tous les bourgeois et aristocrates vivaient, et où tous les restaurants coûtaient la peau des fesses ou, dépendant du restaurant, les yeux de la tête.

*Et si on s'amusait un peu?*

La plaisanterie était venue à lui comme l'inspiration attendue. Sonner chez un parfait inconnu, snobinard, et lui demander à manger. Si la réponse s'avérait à être positive, tant mieux, son estomac serait satisfait. Dans le cas contraire... Une bonne rigolade et partant pour une autre maison!

Cherchant victime numéro un, Harlequin se mit à marcher plus vite, quand soudain...

Le chef-d'oeuvre, le péché mignon, le palace des palaces se présenta devant lui sur un plateau d'argent: il se trouvait devant le palais du ministre.

Avec un petit rire, il entra dans la cour - la grille était étonnement ouverte. La place était luxueusement garnie, de nombreux arbres et arbustes taillés se tenaient dans les allées de dalles écarlates. Le jeune homme s'avança vers les gigantesques portes d'ébènes. Il remarqua les gardes figés.

*Mais, qu'est-ce que...*

Puis il la vit. L'Amiral-Maréchal des Temper, Constance Téofanne, entrait justement dans les appartements du ministre.

"Mlle Téofanne! cria-t-il, Mlle Téofanne, vous rendez une visite au ministre? Laissez-moi deviner... Une affaire confidentielle? Une lettre d'amour qui doit passer inaperçue?"

Harlequin rit de sa dernière phrase et fixait gentiement la Temper de ses yeux de grenat.

Constance lui souris parlant toujours avec ca voie d'enfant elle avancait vers l'auberge tranquillement elle vit un grand homme à la peau blanche et une jeune femme au ailes dans le dos, tout deux était sûrement des immortels, elle passa, elle avait quelque chose d'Autre à faire comme... manger. Quand Constance entendît les gargouillis d'Harlequin elle ria un peu et lui montra la porte de l'auberge.

"Voilà! C'est ici, ils font de la bonne nouriture, c'est garantis, tu vas t'en prendre plein la panse!"

Elle avanca tranquillement devant la porte et attendis qu'Harlequin lui ouvre par pur gentillesse.

(PROCHAIN POST L'AUBERGE !!!)