Phir Lovari

Nom: Phir Lovari

Surnoms: Black Jack, le gitan, le cornu, le diable... Donnez-lui en un autre si ça vous chante!

Ordre: Luna

Sexe: Masculin

Disciplines: Protean ***
Abombwe **
Animalisme *

Profession: Musicien et dirigeant du marché noir sous la table

Arme: Phir aime bien se défendre avec une grosse clé anglaise ou avec ses poings, mais il ne se promène jamais sans une arme à feu, discrète ou non. Oh, encore une chose.... Il est très doué au lancer du couteau!

Apparence physique:

Phir est le fruit d'une union de deux êtres totalement opposés physiquement, un résultat métissé et relativement concluant. De son père, il a hérité de ses magnifiques yeux verts émeraudes d'une profondeur engouffrante et de sa carrure. De sa mère, il a hérité du teint basané propre aux gitans, de pommettes saillantes et de sa tignasse noire. Ce voyou professionel conserve une multitude de cicatrices de ses combats, ainsi qu'un nez brisé suite à un coup vicieux, ce qui lui donne tout de même un certain charme. Phir paraît avoir autour de 22 ans, vêtu d'un ensemble classique de l'époque, c'est-à-dire: Un gavroche pour cacher ses cornes(oui, oui, des cornes!), un pantalon rapiécé retenu par des bretelles, une chemise relativement propre, un long manteau en laine pour l'hiver et des gants troués. Il ne faut pas oublier son tatou tribal sur son épaule et l'autre à l'intérieur de son avant bras, qu'il a presque constamment la clope au bec et une barbe mal rasée. Sa marque se situe sur sa cheville. C'est un bel homme débordant de charme, mais il faut apprécier le genre.

Psychologie:

Un mot: déséquilibré. Tout en Phir lévite dans un lieu incertain entre la joie et la déprime, quoiqu'il ne manque jamais une occasion d'être volubile. Il manifeste ouvertement ses sentiments et cela jusque dans ses travails. De plus, Lovari à un grand penchant pour l'alcool et tout ce qui s'appelle drogue ou autre. Véritable Don Juan, il séduit énormément, mais collectionne les histoires d'une nuit ou celles foireuses et douteuses qui finissent toujours par des séparations rudes(telle un violent coup en plein visage...) lui procurant un chagrin qu'il noit dans une taverne. Plus rusé qu'un renard, Phir joue des pieds et des mains pour arriver à ses fins grâce à des procédés souvent tirés par les cheveux, ce qui veut dire qu'il n'hésite pas à mettre sa fierté masculine de côté si ça peut l'aider à accomplir ce qu'il veut. Si il a longtemps voyagé, Phir à finalement trouvé le courage de se poser plus que quelques jours au même endroit, dans cette grande ville qui à finit par le charmer. Le gitan a une passion pour les jeux de cartes et... disons que les cartes le lui rendent bien. D'un autre côté, Phir adore la musique (il joue notamment du violoncelle et de la contrebasse), la danse(très doué dans les danses gitanes et espagnoles) et a un penchant pour les grandes phrases un peu pompeuses. Ce qu'il aime dans ses meilleurs moments, c'est rire et en mettre plein la vue. Son amour secret: les cheveux. Élevé aux côtés de ces équidés à la liberté farouche, Lovari est un excellent cavalier et ne peut s'empêcher de s'approcher de ses magnifiques bêtes lorsqu'il en voit une. Phir a une présence étrange mais imposante lorsqu'il le désire, car il ne se laisse pas facilement marcher sur les pieds, va nu pied et gamin des rues, et, même si il ne le montre pas toujours, c'est un être brillant avec une grande culture générale. Son allégeance? Aucune. Enfin, n'importe laquelle, plutôt. Si il refuse de se faire embarquer dans ces interminables histoire de clans(il en a assez des siennes!), il répond à l'appel de ceux qui nécessitent des produits illégaux sans trop poser de question et accepte de régler quelques comptes. Effrayé par la rage qui vivait en lui, cette rage horrible et incontrôlable qui a ressortit en lui après la mort de sa mère, le gitan évite les situations de conflits directs et de prendre sa forme animal, de peur de faire un geste qu'il regretterait. Phir est très dure en affaires et réussit toujours à gagner le maximum de profit. Extravertie, les autres ne lui font pas peur et il connait tout le Paris souterrain, possédant le respect de la plupart, humains ou immortels. Ne jamais, au grand jamais sous estimer Phir...

Historique:

Le souvenir le plus loin dont je me souviens... Je devais avoir quatre ans. Les journées, soit nous voyagions, soit nous travaillions, c'était aussi simple que ça. Homme comme femme, nous ne parlions guère jusqu'au soir venu. Là, les dames et demoiselles dansaient, tous chantaient et s'en donnaient à coeur joie. C'était magique. Oh, que je suis bête! Voilà que j'oublie de me présenter! Pour passer rapidement sur mon identité, je m'appelle Phir, membre de la famille des Lovari, marchands de chevaux. Mon prénom signifie "marcher", ce qui, d'une certaine façon, convient relativement bien à un être nomade comme moi. Ma mère, héroïne féminine de mon existence, femme que je recherche assidument dans chacune de mes amantes, n'étaient pas comme les autres. C'était une gitane splendide à l'esprit indépendant, aucun homme ne l'avait jamais soumis et notre clan la supportait car elle possédait des pouvoir hors du commun... Vous connaissez les immortels? Oh, je suis bête, naturellement que vous les connaissez! Donc, pour revenir à mon histoire, ma génitrice était l'une d'elle, une luna pour préciser. Et mon père dans cette histoire? En fait, mon Esmeralda de mère, lors d'un de ses nombreux voyages, trouva son Phoebus dans un Irlandais bien de son pays et.. Bref, elle finit par tomber enceinte. Après cette amourade, celle-ci finit par le laisser tomber et je n'eus plus aucune nouvelle de lui. Enfin, presque. Il se trouve que ce dit Irlandais était un sorcier et il lança une malédiction à ma mère, comme quoi son enfant porterait les cornes du démons. Démons, dragon, corne... Vous voyez le lien? C'est donc le seul souvenir réellement tangible que mon patriarche m'offrit: des cornes. Me sachant paresseux, je vais survoler le reste de ma relativement longue existence, héhéhé... Enfant différent des autres, mes cornes m'ont longtemps complexées. Vous savez, les enfants sont tellement cruels. En vieillissant, je suis passé par dessus ce complexe. Donc, je suis longtemps resté avec le groupe de gitans auquel ma mère appartenait, vivant au jour le jour et imprimant en moi cette culture colorée. Puis, vint un jour où je ressentis le besoin de voler de mes propres ailes, de faire cavalier seul. Disant le bonjour à tous, j'ai pris le large, devenant troubadour. Eh oui, troubadour! J'avais envie de musique, de poésie... tout ce à quoi un jeune rêveur aspire. Puis, vint le temps où le bateau sur lequel j'étais fut accosté par de gentils pirates. Résultat: Je fus pris prisonnier sur le navire, mais j'intégrais facilement l'équipage. Après quelques années folles de piratage et de pillage, je quittais le navire et repris mon errance sur la terre ferme. Le Vieux continent, le Nouveau monde, le Moyen-Orient, l'Asie... Tous ces lieux défilaient devant mes yeux sans que je me lasse. Finalement, j'attéris à Paris où je finis par me poser momentanément. Travaillant à temps plein comme musique là où je le pouvais, je compris que cela ne suffirait pas à mon bien être et je me laissais tenter par les travails au noir. Je me fis donc tout un réseau, me coulant dans ce rôle comme si j'étais né pour celui-ci. Voilà donc où j'en suis présentement... Dans les monde des escrocs jusqu'au cou avec un fond musical!

Terminé!

À moins que vous ne demandez application pour être gouverneur, Sir Lovari, je dois malheureusement vous soumettre à une suite de 3,2,1 pour vos disciplines.

À part de 'tsa, vous avez le don, chère amie, de complèter à raz bord vos fiches!

Vous serez acceptée lorsque le 'tit problème de discipline soit réglé. (Espèce d'indisciplinée!)

Diable en personne

Ooooh, disculpa!
Voilà, c'est corrigé!

Merci!

Alors bienvenue à Red Drag... blablabla.

(je me sens comme un machine à chauqe fois, 'faut me comprendre...)

Mimi, le didi en peper.

hihihi! Hey, va voir tes messages persos, diable en personne!