Devant la cathédrale Notre-Dame...

Vilya marchait vivement, sans toutefois presser le pas. Tendue, elle marchait, pour s'éloigner des Champs-Elysées. Elle venait de sortir d'un restaurant, après l'apparition de vampires. Aidée par Milanor, elle s'était sortie du piège, et elle tachait maintenant de mettre le plus de distance possible entre elle et les deux hommes. Et ne se rendit pas compte qu'elle était juste devant la grande Notre-Dame, la cathédrale au vitrail aussi vieux que beau. Et devant le repaire de Flammarion.

*Bravo! En quelque jours, j'ai réussi a me mettre a dos un Moltanor, devenir l'obligée d'un ombre, la proie de vampire et la risée de toutes ses grandes têtes couronnées. Bravo. Ah, si j'étais restée a Londres, au moins je savois quoi faire, a qui parler. Mais ici, a Paris... Vivement le brouillard et la pluie quand je reviendrai chez moi!*

Seule devant la Seine, elle ruminait ses mésaventure et commencait a croire qu'il serait mieux pour elle de revenir chez elle, ou a la limite, si la poussière n'étais pas retombée, aller en Irlande chez l'un de ses amis Valkar.

Inéalis Flamarion qui venait de sortir de sa conversation avec milanor allait entré en son lieu de travail. Le Moltanor avait sa bible sous le bras et marchait avec sa canne. Sa capuche dissimulant son visage. il remarqua la gouverneur et s'approcha d'elle

est ce dieu que tu chercher ici mon enfant? si tels ai le cas je suis navré de te dire qu'il ai en vacance. mais son humble serviteur peu t'aider si tu cherche la flammes divine. sinon que vient tu faire ici?

le moltanor parlait d'une voie douce et souria a lorsqu'il eu finit

Vilya sursauta en remarquant soudain la présence de l'homme près d'elle, qui n'était autre que flammarion lui même, qu,'elle avait reconnue grace a la température...élevé, de son corp. Elle ne s'était pas rendue compte qu'elle marchait juste devant son repaire. Se souvenant de leur premier échange, un peu dangereux, elle recula rapidement, pour mettre une distance entre elle et lui, et aussi pour se mettre a l'abri de la chaleur intense de sa peau.

Ravie de vous revoir,lui répondit-elle, nerveuse et tendue,Flammarion. Je suis désoler de vous avoir dérangé dans vos travaux. Je marchais simplement, et je en me suis pas rendue compte d'où je me trouvait. Malheureusement, je ne crois pas que rejoindre les rangs des religieuse soit une bonne solution pour se qui me tombe sur la tête. Alors je vais vous laisser a vos office, je n'ai pas l'intention de vous embêter plus longtemps. Alors bon après-midi et bonne soirée.

Elle s'éloigna, marchant tranquillement, tout en se battant mentalement pour cet imbécilité et par son absence de vigilence.

*C'est ça! Va le déranger en plus. Va savoir s'il va vouloir me massacrer maintenant!*

Inaélis la rattrapa:

attendez! voyont je suis au courant que vous ne vouliez pas mal faire. je ne comprend simplement pas pourquoi vous etes ici il croisa les bras lupin et vous? ici en même temp il dois ce passer quelque chose! aller venez avec moi nous parlerons dans l'église ce sera mieu. et de plus n'aillez pas peur... je ne vous ferez aucun mal.

Vilya resta muette un moment, surprise par la soudaine attitude du Moltanor a son égard. Un peu méfiante, elle le suivit, quelque peu détendu, mais comme elle ne se détendait jamais vraiment... En pénétrant dans l,immense cathédrale, elle leva les yeux vers la voute, large et vaste, superbement peinturée et éclairée. Elle admira l'oeuvre des hommes qui l'avaient batît. C'était superbe. Elle adorat aussitôt l'endroit, sauf bien sur les implications religieuses qui se cachaient dans tous les recoins.

Elle murmura pour elle,*Cet endroit est magnifique, j'aimerais bien voir a partir du balcon. Pourquoi font-ils des endroits si beau, mais aux implications si sinistres?*

Le moltanor lui indiqua un banc d'église assez éloigné des autres. il dépose sa canne et sa bible puis croisant les mains une sur lautre il dit:

alors? que venez vous faire ici?

Très peu de chose. Ma tête est pratiquement mise a prix dans mon ordre, à Londres. A cause de mon titre et de la manière donc je l'ai eu. Avec un risque élevé de me faire tuer a tout moment, je suis partie et je suis venue en france. Pourquoi? Aucune idée. Et je suis arrivée ici, a Paris. Je n'avais aucune idée de sur qui je tomberais. Mais je savais que personne de Londres viendrais me chercher ici.

Elle se sentait étrange et mal a l'aise, surplombée par l'image en trois dimension de jésus, sacrifié sur la croix. Toutes le simplications, que ce soit pour les femmes, ou pour le destin des homme, lui faisait froid dans le dos. Combien était mort pour cette image? Combien de filles avaient été emprisonnée dans une foi implacable et pratiquement obligatoires? Perdue dans sa tête, elle n'avait presque plus cure de rien, comme si la fatlaité venait de lui tomber soudainement sur les épaules.

Le maitre de Notre-Dame ce gratta le menton...

et de quelle façon avez vous obtenu ce titre? il n,st pas abituel que un ordre mettent la tete a pris de leur gouverneur surtout pas dans lalliance de la lune.

Simplement parce que je me suis trouver trop près a mon gout du gouverneur précédent!La colère de Vilya s'échappa sans le vouloir, et sa voix devint emplie de venin, le temps de quelques secondes. J'étais dans ses bonnes graces, apparament. Il a été tuer justement pour son titre. Par l'un de ceux en qui il avait confiance. Celui qui l,a tuer devait croire qu'il lui donnerait le titre. Non, c'est moi qui a été choisie! Alors imaginez la colère du Valkar en question! Et j'ai l'ordre au complet sur mon dos, parce que je suis une femme, que j'ai 19 ans, et que je viens de voler le titre a l'homme le plus puissant de mon ordre! Voila pourquoi!

Vilya n'était pas de bonne humeur. Le souvenir du précédent gouverneur l'emplissait de colère...et de honte. Mais cherchant a ne pas alerter le moltanor, qui lui poserais sans nul doute d'autre questions sur le sujet, elle se forca a reprendre le controle sur sa voix, ses émotions et sur son agitation.

INaélis la dévisagea:

19 ans? comment votre ordre a telle pu faire une paraille sottise une enfant ! le gouverneur est pour votre information n'est pas l'être le plus puissant dailleur je ne voie pas quoi est ce que il aurait donner ses pouvori a vous i vous lavez tuer. mais... assumé vos responsabilité jeune fille retournez a londre ou attendez ici que sa ce calme mais assumez! 19 ans... quelle jeunesse pour tant de pouvoir... enfin faite attention a vous moi je dois prendre congé et vaqué a mes occupations.

C'est ça! Retourne faire ce que tu dois! Toujours la même chose. Ce n'est pas si facile a faire. Je n'ai pas tuer cet homme mais je l'aurais voulu. Je ne veux pas retourner là bas parce que j'ai peur de l'imbécile de Valkar assoifé de pouvoir. j'ai peur des souvenirs et de ce que je vais encore devoir endurer quand je vais y revenir. Vous vous croyez au dessus de tout a me demander d'y retourner.

Vilya était hors d'elle, secoué et furieuse, la voix retentissante dans la cathédrale, d'ordinaire silencieuse. Mais elle se moquait de hausser la voix. Personne ne comprenait ce qu'elle pouvait avoir endurer. La honte perpétuelle. Mais elle baissa la voix bintôt, se parlant plus qu'elle ne s'adressait désormais a Flammarion

Ce n'est pas moi qui ai choisit de devenir gouverneur. Je n'ai jamais voulu ce poste. Si un valkar veut mon poste, peut m'importe. Mais ej ne veux pas revenir a Londres en fait. Pas avant d'avoir réussi a oublier ce que le précédent m,a fait endurer.
Elle haussa de nouveau la voix, qui tremblait.

La Honte! Qui hante toujours et jamais ne part. Mais vous ne savez pas ce que c'est. La honte! Pourtant je n'ai rien fait. Rien fait d'autre que d'être trop naive pour réagir. Et me voila, a 19 ans, incapable d'affronter mon esprit et mon corps souffrant. Je suis gouverneur, et comme vous l'avez dit, trop jeune. J'ai une responsabilité que je ne connais même pas encore. Et encore trop fragile pour affronter mes souvenirs. Venez ensuite me dire ce que je dois faire! Quand vous saurez ce que j'ai endurer, ensuite vous me direz quoi faire. Maintenant partez, faite ce que vous avez a faire et laisser moi partir. J'ai eu tord de venir. Merci, mais je dois partir avant de tomber de fatigue et de désespoir!

LE moltanor laissa pousser une léger grognement avant de dire ses douces paroles:

peu importe.. ce que vous avez enduré... jai presque 2000 mille ans vous croyez vraiment que je connais pas les malheurs d'avoir 19 ans.. davoir été fouété davori chassé pour survire a mon époque c'était ainsi. écouter moi affronté l'ai, les valkar ce sont des ëtres assoifé de pouvoir peu etre mais vous etes le gouverneur et nul na le droit davoir enprise sur vous a par valkar et lamiral-maréchal... personne. alors cesser de crier dans la maison du seigneur avant que je vous fasse taire moi mëme et daignez avori un peu de décence jeune fille, vous ne voulez pas etre gouverneur soit mais vous l'êtes et vous avez les pouvoirs qui vienne avec!. point barre. alors soyez digne de cette faveur et arretez de hurler et de vous démenez ce n'est pas en criant que on regle des problemes mais en discutant. vous etes plus ofrte que vous le pensé vous avez l'éternité pour aquérir de lexpérience vous etes surment capale de gérer sa, le gouverneur et ses resposabilité ce n,est pasm oi a vous les donnez mais au chef de votre ordre ou l'amiral maréchal. et puis chaque etre a des démons en lui vous etes jeune mais vous apprendrez a faire face ou souvenir.

Vilya sortit en trombe de la cathédrale, furieuse et en désespoir. Encore un qui pensait qu'elle était bien tombé, d'avoir autant de pouvoir a un si jeune age. Personne ne peut avoir d'emprise sur un gouverneur? Personne sauf la honte! Elle jeta un oeil sur le clocher de la cathédrale. Elle ouvrit ses ailes, et commenca a grimper. Arrivée en haut, elle se laissa aller contre une gargouille, et pleura. Elle n'avait pas pleurer depuis quelle avait perdue une partie d'elle même, un soir, la première fois qu'elle avait renconter le gouverneur précédant, qui lui avait voler ce qu'une jeune adolescente a de plus cher. La partie d'elle même qui la rendait fière autrefois. Les chaînes des souvenirs l'emprisonnant, elle pleura longtemps, sans se soucier de rien, silencieuse malgré tout. Elle fini par s'endormir, épuisée et triste. Elle ne rêva que de son cauchemard éternel, et qui risquait de l'être pour de bon, éternel, si elle ne parvenait pas a reprendre le contrôle sur elle même. Sans aide, c'était presque impossible. Elle rêvat de sa mère aussi, celle qui l,avait abandonné parce qu'elle était trop étrange. Combien elle aurait aimé ne pas naître avec des ailes, et pouvoir être encore entière, encore innocente, encore saine d'esprit.

INaélis termina sont devoir vers la fin de l'apres midi. il sortit de l'église bible sous le bras en direction de lauberge du sanglier ou l'on avait apperçut une membre de l'ordre de seth. seulement le 6e sens de inéalis le prévint qu'une chose était vixé sur la parroi de l'église... un gargouille.. le jour! surment pas... inéalis ce retourna le milieu de sa paumes gauche illuminé. mais lorsque qu'il fixa le haut du clocher il apperçut vilya qui pleurait. d"un bond il bondit en haut du clocher. il atteri prêt d'elle.
Si tu ai posté ici pour pénétrer les voies du seigneur je te prévient elle sotn impénétrable. le Moltanor s,accroupit prêt d'elle la vie n,est pas facile pour les gens comme nous, il faut accepter et vieillir en paix avec soit même sinon il ne sert a rien de ci prêter. tu ai né immortel tu a un dons extraordinaire et tu ai béni du dragon n'oubli pas.. alors jne desespere pas mon enfant tu trouvera ta voie un jour ou lautre! si le gouverneur précédent ta élu c que tu devais etre compétente non? même a ton age... tu ai jeune il te reste un monde a découvrir. ne desespere pas et garde la foi en toi meme jeune fille.

Vilya leva la tête, et fixa le regard de l'homme pencher devant elle. Sans répondr,e elel baissa la tête, pour avoir un point de vue sur la ville. Pourquoi prenait-il de son temps pour venir consoler une stupide adolescente? Il devait pourtant avoir tellement a faire. Tellement d'autre femme à voir en confession... Elle cessa de tergiverser mentalement et revins sur l'homme au capuchon. Elle se sentait mal a l'aise, assise comme une enfant qu'un adulte viens gronder. Elle fini par lui répondr,e avec une voix morne et eraillé, de celel qui doit se contenir pour ne pas perdre encore le contrôle.

Décidément vous ne comprenez pas. Mais finalement, ce n'etys pas surprenant. Le gouverneur précédent ne m'a pas choisit pour ce que je savais faire. Je ne sais rien fair,e sinon me mettre dans l'embarra et dans les ennuis. Il m'a choisit simplement parce qu'il avait un gout prononcé pour ce que j'étais, et il a simplement décidé que je serais probablement honoré de prendre un poste qui ne me revenait pas de droit, ni d'expérience. Mais a quoi bon en parler plus longtemps. Laissez moi donc, vous n'avez rien a ciré d'une adolescente asser stupide pour se perché en haut de la cathédrale en plein jour. Vous avez plein de chose a faire je vous dérange. Alors fichez moi la paix.

Résigné, frustré et abattue, elle se réfugia en cachant son visage dans ses genous, replier devant elle. Elle en voualti plus voir cet homme. Peut importe si des vampires étaient a ses trousse et que c'était le seul à pouvoir s'en débarrasser, peut importe si elle devait rester la toute la nuit a ttendre qu'il parte. Elle voulait mourir...même si elle savait qu'elle ne le pouvait pas.

inéalis ce pencha nouveau...... seigneur comem ct trsite del a voir ainsi il voulait bien sur laider.. mais il ne comprenait pas ce quelle vivait le pouvori étant pour lui même indispensable.

je suis peu etre un moltanor.. vieux... cénile et aveugler par son pouvoir mais je susi encore un peu humain nous somme de la même race vilya, des immortels. jai appris a aimer les gens ici car je ne veux pas reigner sur cette ville seulement pour faire souffrir mais également pour gouverner en paix et avec les vrai valeur... nous somme immortel et.. je nai rien de mieu a faire ... vous etes une immortel alors si vous allez pas bien et bien il faux en parler. et si vrm vous ne voulez pas etre gouverneur et bien soit abandonner ... mais je susi de votre race et je ne vous laisserez pas tombez

Vilya resta immobile, la tête toujours enfouie et cachée. Elle ne voulait plus rien entendre. Pourquoi le moltanor ne la laissait pas tranquille a la fin. Elle ne voulait pas croire qu'il pû s'inquièter d'autre chose que de la quiètude de sa cathédrale ou de sa ville ou de son soit disant pouvoir. Était-il possible que les immortels aient finalement un coeur? Mais elle doutait que le moltanor puisse comprendre les états d'âme ou les blessures de la jeune fille. Comprendrait-il la douleur et la honte du Viol? Aussi resta-elle sans rien dire, immobile autre que le frissonnement de tensions, de stress et de douleur qui la secouait sans relache.

Flamarion posa sa main sur lépaule de la jeune fille et un élant de chaleur apaisante traversa son coeur:

je comprend votre douleur... si vous désirez quoi que ce soti venez me voir ici tout les jours, le matin jy suis normalement sinon ces que jai eu des problemes au cours de la nuit. je comprend votre situation.. je nai pas un coeur de pierre et jai déja eu 19 ans... malgrés que ce ne fut peu etre pas a la meme époque que vous. portez vous bien moi je vais y aller pour vous laissez seul un moment. sinon et bien nous nous reverrons surment... malgrès tout bienvenu a paris Vilya Oblodra.

impuissant face au probleme de ladolescente, Le Moltanor bondit en bas du clocher et atterrit au sol et parti sa longue toge rouge flottant au vent.

Vilya senti sa main sur son épaule. La chaleur fit cesser ses tremblements, mais elle ne redressa pas la tête pour autant. Il partit. Elle ouvrir les yeux, toujours cachée. Silencieuse, elle se perdit longtemps, cherchant quelque chose a quoi s'accrocher. Elle se savait immortelle, mais aujourd'hui, ça lui semblait littéralement inutile. A quoi bon se battre? Mais elle savait qu'elle ne pouvait pas être égoïste. Elle ne le pouvait pas. Elle savait que flammarion avait raison... Mais elle ne voulait pas l'admettre. Mais en même temps, elle savait que de toute façon, elle n,avait pas le choix. Elle ne pouvait pas faire autrement...Elle se redressa et accoudée à la facade observa l'homme qui s'éloignait, au loin. Elle se percha sur la flèche la plus haute, pour dominer la Seine, pour se retrouver un peu plus bas que la tour effel, mais asser haut pur avoir une belle vue. Un humain ne pouvait pas vraiment distinguer sa silhouette, elle ne risquait pas grand chose. Au pire il la prendrais pour une cigogne, courante a ce moment de l'année. Mais elle ne fit que s'asseoir sur la briques chaudes, brulantes, mais qui lui semblait ne pas être aussi chaude que la main de l'homme qui n'était plus désormais qu'un point dans al rangée d'arbre qui menait, quelque part bien plus loin, au Bois de Boulogne.

» Cent pas dans la cathédrale